Vie
Les mots nature, existence et vie prennent plusieurs significations dans le langage courant. La signification des mots est importante pour éviter toute confusion. Ainsi, dans ce site, nous donnerons une signification particulière au mot vie en l'écrivant avec un V majuscule pour le distinguer des autres significations.
Ainsi, dans ce site La Vie est considérée comme le principe qui régit l’ensemble des transformations au sein d’un «élément-type» ainsi que toutes les transformations d’ « éléments-types » en d’autres « éléments-types ». Elle serait ce qui relie tout à tout. Ce serait par Elle que la complexité des « éléments-types » irait croissante. Elle serait l’essence même de la Nature et par conséquent serait indissociable des Existences. Si on accepte cette définition, on en tire les conclusions suivantes : Alors qu’une Existence est plus ou moins éphémère, la Vie est par contre permanente et ne peut disparaître. Selon cette façon de voir, nous ne pourrions ni donner, ni perdre la Vie. C’est le contraire. C’est Elle qui engendre et transforme physiquement, biologiquement, psychologiquement nos Existences. C’est donc Elle qui les fait apparaître et disparaître. La Vie et la Nature sont d’essence sacrée. Elles sont toutes deux d’une « dimension » supérieure à toute Existence, et bien sûr à la nôtre en particulier. Toute Existence peut agir, jusqu’à un certain point, sur sa propre Existence et sur celle des autres. Ce n’est pas une exclusivité humaine sauf que, dans notre cas, notre intellect et notre ego nous font croire que nous pouvons passer outre au principe de Vie et faire ce qu’on veut. Le vraisemblable est que nous nous illusionnons. En cherchant à agir sur les Existences dans le seul but de satisfaire notre volonté ou notre ego, nous ne faisons rien d’autre que de déranger un certain équilibre et troubler temporairement une harmonie naturelle, ce qui n’est bien sûr pas toujours sans conséquence, soit immédiate, soit à terme. Certes, nous pouvons agir sur des Existences mais, en ce qui concerne le déséquilibre et les conséquences qui en résultent, nous n’avons plus aucun contrôle. Nous ne pouvons que subir.
Il n’est pas impossible que ce qui est défini ici par les mots Nature, Existence et Vie soient en fait des représentations arbitraires d’éléments diffus, complexes, intriqués à l’extrême pour ne former au final qu’une seule Entité, impossible à appréhender dans son ensemble. Nous ne pouvons qu’en jouir, si nous savons en prendre conscience et décoder les signaux variés et subtils qu’Elle nous envoie. C’est en se fondant en Elle, en étant à son écoute sans analyse, sans ego, sans chercher à refouler ses signaux ni se les faire interpréter par qui que ce soit, que nous avons le plus de chance d’être envahi de sentiments irrationnels, non ambigus tel par exemple une sympathie ou une bouffée de bonheur. Plus nous sommes en phase avec l’Entité, plus notre instinct devrait se développer et plus nous devrions être capables de connaître ce que Jiddu Krishnamurti appelle les visions fulgurantes. Il n’est pas impossible que des êtres particulièrement sensibles soient même capables d’expérimenter des prémonitions ou des transmissions de pensées ou de développer une forme de contrôle entre le corps et l’esprit. Chercher à disséquer et contrôler le pourquoi et le comment de ces signaux serait le plus sûr moyen de les rendre illisibles. Probablement que la meilleure façon de les capter est d’avoir un cerveau en état de complète relaxation, libre de toutes pensées, dépourvu de stress de quelque nature que ce soit pour se trouver en osmose avec l’Entité.
C’est malheureusement l’inverse qui a été institué par les civilisations tant par l’éducation laïque que religieuse qui parasitent les signaux de l’Entité. Quand ce qui est enseigné ne va plus dans le sens de l’éveil à la compréhension de notre environnement, au sens large du terme, mais impose l’acceptation de dogmes indiscutables alors, nous avons là le plus sûr moyen de court-circuiter les signaux de l’Entité. En cherchant à dominer la Nature et à la façonner à notre bon vouloir, nous construisons un monde parallèle, virtuel, intellectuel, de plus en plus détaché de l’Entité. Les racines qui nous rattachent à Elle mentalement deviennent alors de plus en plus minces et fragiles. Nos pertes de contact avec l’Entité désorientent à tel point notre mental et nos actions que notre espèce se trouve alors en danger. Il n’est peut-être pas encore trop tard pour lui redonner une santé et sauver notre espèce à la dérive. Pour cela nous devrions commencer à admettre que nos Existences humaines, comme toutes les autres d’ailleurs, font partie intégrante de la Nature et de la Vie et que nous devrions considérer ces dernières avec humilité et respect.
Notons qu’il est inopportun de faire de l’anthropomorphisme au sujet de l’Entité car, de toute évidence, nous ne pouvons lui prêter d’intention, de but, de volonté, de colère, de destinée, de bonté ou de malveillance, de jugement, de vengeance ou de punition. Devrions-nous alors attribuer ces traits si humains à son Créateur, si même le terme créateur n’est pas déjà un anthropomorphisme. ? Quoi qu’il en soit, si nous admettons que l’Entité n’est pas dans notre « dimension », alors il nous faut accepter que son Créateur soit d’une « dimension » encore supérieure. Lui attribuer nos petits travers est une sorte de blasphème. Et puis, en ce qui concerne notre Existence sur cette Terre, est-il raisonnable de vénérer le Créateur de la Nature et simultanément traiter son œuvre avec tant d’irrespect ? Peut-être serait-il temps de réapprendre les “lois” de la Nature et de la Vie pour les considérer enfin comme valeurs sacrées. Elles nous laissent suffisamment de degrés de liberté pour faire de nos propres Existences ce que nous aimerions qu’elles soient. Notre mentalité ne pourra pas changer, nos Existences ne pourront pas s’améliorer, notre biosphère ne pourra pas nous accepter encore longtemps si nous ne réapprenons pas à faire bon usage de notre cerveau et diminuer fortement notre ego.
Que nous apporte de plus cette façon de concevoir Nature, Existence et Vie ?
Ainsi, dans ce site La Vie est considérée comme le principe qui régit l’ensemble des transformations au sein d’un «élément-type» ainsi que toutes les transformations d’ « éléments-types » en d’autres « éléments-types ». Elle serait ce qui relie tout à tout. Ce serait par Elle que la complexité des « éléments-types » irait croissante. Elle serait l’essence même de la Nature et par conséquent serait indissociable des Existences. Si on accepte cette définition, on en tire les conclusions suivantes : Alors qu’une Existence est plus ou moins éphémère, la Vie est par contre permanente et ne peut disparaître. Selon cette façon de voir, nous ne pourrions ni donner, ni perdre la Vie. C’est le contraire. C’est Elle qui engendre et transforme physiquement, biologiquement, psychologiquement nos Existences. C’est donc Elle qui les fait apparaître et disparaître. La Vie et la Nature sont d’essence sacrée. Elles sont toutes deux d’une « dimension » supérieure à toute Existence, et bien sûr à la nôtre en particulier. Toute Existence peut agir, jusqu’à un certain point, sur sa propre Existence et sur celle des autres. Ce n’est pas une exclusivité humaine sauf que, dans notre cas, notre intellect et notre ego nous font croire que nous pouvons passer outre au principe de Vie et faire ce qu’on veut. Le vraisemblable est que nous nous illusionnons. En cherchant à agir sur les Existences dans le seul but de satisfaire notre volonté ou notre ego, nous ne faisons rien d’autre que de déranger un certain équilibre et troubler temporairement une harmonie naturelle, ce qui n’est bien sûr pas toujours sans conséquence, soit immédiate, soit à terme. Certes, nous pouvons agir sur des Existences mais, en ce qui concerne le déséquilibre et les conséquences qui en résultent, nous n’avons plus aucun contrôle. Nous ne pouvons que subir.
Il n’est pas impossible que ce qui est défini ici par les mots Nature, Existence et Vie soient en fait des représentations arbitraires d’éléments diffus, complexes, intriqués à l’extrême pour ne former au final qu’une seule Entité, impossible à appréhender dans son ensemble. Nous ne pouvons qu’en jouir, si nous savons en prendre conscience et décoder les signaux variés et subtils qu’Elle nous envoie. C’est en se fondant en Elle, en étant à son écoute sans analyse, sans ego, sans chercher à refouler ses signaux ni se les faire interpréter par qui que ce soit, que nous avons le plus de chance d’être envahi de sentiments irrationnels, non ambigus tel par exemple une sympathie ou une bouffée de bonheur. Plus nous sommes en phase avec l’Entité, plus notre instinct devrait se développer et plus nous devrions être capables de connaître ce que Jiddu Krishnamurti appelle les visions fulgurantes. Il n’est pas impossible que des êtres particulièrement sensibles soient même capables d’expérimenter des prémonitions ou des transmissions de pensées ou de développer une forme de contrôle entre le corps et l’esprit. Chercher à disséquer et contrôler le pourquoi et le comment de ces signaux serait le plus sûr moyen de les rendre illisibles. Probablement que la meilleure façon de les capter est d’avoir un cerveau en état de complète relaxation, libre de toutes pensées, dépourvu de stress de quelque nature que ce soit pour se trouver en osmose avec l’Entité.
C’est malheureusement l’inverse qui a été institué par les civilisations tant par l’éducation laïque que religieuse qui parasitent les signaux de l’Entité. Quand ce qui est enseigné ne va plus dans le sens de l’éveil à la compréhension de notre environnement, au sens large du terme, mais impose l’acceptation de dogmes indiscutables alors, nous avons là le plus sûr moyen de court-circuiter les signaux de l’Entité. En cherchant à dominer la Nature et à la façonner à notre bon vouloir, nous construisons un monde parallèle, virtuel, intellectuel, de plus en plus détaché de l’Entité. Les racines qui nous rattachent à Elle mentalement deviennent alors de plus en plus minces et fragiles. Nos pertes de contact avec l’Entité désorientent à tel point notre mental et nos actions que notre espèce se trouve alors en danger. Il n’est peut-être pas encore trop tard pour lui redonner une santé et sauver notre espèce à la dérive. Pour cela nous devrions commencer à admettre que nos Existences humaines, comme toutes les autres d’ailleurs, font partie intégrante de la Nature et de la Vie et que nous devrions considérer ces dernières avec humilité et respect.
Notons qu’il est inopportun de faire de l’anthropomorphisme au sujet de l’Entité car, de toute évidence, nous ne pouvons lui prêter d’intention, de but, de volonté, de colère, de destinée, de bonté ou de malveillance, de jugement, de vengeance ou de punition. Devrions-nous alors attribuer ces traits si humains à son Créateur, si même le terme créateur n’est pas déjà un anthropomorphisme. ? Quoi qu’il en soit, si nous admettons que l’Entité n’est pas dans notre « dimension », alors il nous faut accepter que son Créateur soit d’une « dimension » encore supérieure. Lui attribuer nos petits travers est une sorte de blasphème. Et puis, en ce qui concerne notre Existence sur cette Terre, est-il raisonnable de vénérer le Créateur de la Nature et simultanément traiter son œuvre avec tant d’irrespect ? Peut-être serait-il temps de réapprendre les “lois” de la Nature et de la Vie pour les considérer enfin comme valeurs sacrées. Elles nous laissent suffisamment de degrés de liberté pour faire de nos propres Existences ce que nous aimerions qu’elles soient. Notre mentalité ne pourra pas changer, nos Existences ne pourront pas s’améliorer, notre biosphère ne pourra pas nous accepter encore longtemps si nous ne réapprenons pas à faire bon usage de notre cerveau et diminuer fortement notre ego.
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