Nature
Les mots nature, existence et vie prennent plusieurs significations dans le langage courant. La signification des mots est importante pour éviter toute confusion. Dans ce site, nous donnerons une signification particulière au mot nature en l'écrivant avec un N majuscule pour le distinguer des autres significations.
Ainsi le mot Nature sera défini comme l’ensemble des univers physiques et non physiques. Dans cette définition, la Nature serait tout, contenant à la fois nous-mêmes et tout ce qui nous entoure. Mais elle serait encore plus que cela. Elle serait aussi tout ce qu’on peut voir, sentir, toucher, imaginer, tout comme ce qu’on ne peut pas voir, toucher, imaginer. Elle serait à la fois les atomes et les lois qui les régissent entre eux. Elle engloberait le cosmos qu’on cherche à comprendre et peut-être d’autres univers. Elle inclurait l’espace, la matière et le temps tout comme l’énergie sous toutes ses formes. Elle serait tout ce qu’on sait d’elle et tout ce qu’on ne sait pas encore, et tout ce qu’on ne saura jamais. Nous en ferions partie intégrante, imbriqué dans un réseau d’une extrême complexité où tout est lié sans que rien ne soit plus important ou moins important que tout le reste, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, des champs de forces électromagnétiques et de gravitation, des ondes de toutes natures et de toutes fréquences et bien d’autres choses que l’Homme ne sait pas encore, sans compter tout ce qu’il ne pourra jamais savoir, car inaccessible à son intelligence et à sa sensibilité. Dans le contexte de la définition de la complexité donné dans le 1er exposé, la Nature serait le système complexe-parent de tous les autres systèmes complexes-enfant qu’elle contient. La Nature serait indivisible et non mesurable dans sa globalité car elle serait d’une « dimension » autre que la nôtre. L’observation de la Nature, pour en comprendre sa beauté, est certainement une bonne chose, à condition d’avoir l’humilité de reconnaître qu’on ne voit que ce qu’on veut ou peut en voir et qu’on ne la verra, ni ne la comprendra jamais dans sa totalité. D’ailleurs est-il vraiment nécessaire de la comprendre objectivement pour en déceler sa beauté et d’en jouir ? Il est certainement vain d’essayer de chercher à percer ses secrets pour essayer de nous en libérer, car cela reviendrait à vouloir nous libérer de ce qui nous permet d’exister. Nous devrions plutôt regarder la Nature comme quelque chose de sacré et la respecter en tant que telle.
L’observation objective de notre seul Univers, tout comme d’autres peuples l’avaient déjà découvert intuitivement, nous a montré qu’il est fait d’une énorme diversité et d’une non moins énorme quantité de matière et d’énergie qui occupent aussi bien l’infiniment petit que l’infiniment grand, qui apparaissent, disparaissent, se transforment, se complexifient, se composent et se décomposent en des temps qui s’étendent de l’infiniment court à l’infiniment long. Notons que la notion d’espace infiniment grand ou petit, et la notion de temps infiniment court ou long n’ont de signification qu’au niveau des mathématiques et n’ont de valeur que dans un système de référence bien défini. Elles sont toutefois inappréciables par notre imagination. Peut-on imaginer ce que veut dire le nombre 10 avec quarante zéros derrière ? Les physiciens retrouvent souvent cette valeur entre les rapports de l’infiniment grand et de l’infiniment petit de plusieurs grandeurs physiques. Ces chiffres ne font que nous confirmer que la Nature n’est pas dans notre dimension, ne serait-ce que physiquement.
Le fait qu’il y ait dans la Nature apparition, disparition, transformation, conduit automatiquement à la notion d’existence c'est-à-dire de naissance, de succession d’évènements, de durée et de mort. Pour pouvoir communiquer et nous comprendre, nous sommes obligés de faire des définitions qui ne sont que des outils, des représentations pour notre pensée et n’ont de valeur que par le regard qu’on porte sur elles, mais n’ont aucune valeur absolue.
Appelons alors « élément-type» » quelque chose qui se distingue d’une autre, qu’on peut observer dans la Nature. Cela peut être, par exemple, une particule élémentaire, un atome, une molécule, une espèce biologique, une étoile, une galaxie, un univers, une onde, un parfum, voire un sentiment ou un phénomène extra sensoriel. L’observation suggère que tous les « éléments-types » ont la spécificité d’apparaître en tant que tels, de suivre une évolution qui leur est spécifique avant de disparaître pour se transformer en un ou plusieurs « éléments-types » de natures différentes. Le temps qui sépare l’apparition d’un « élément-type » et sa disparition en tant que tel peut aller d’une fraction de milliardième de seconde à des multiples de milliards d’années.
Lire plus à propos du terme Existence
Ainsi le mot Nature sera défini comme l’ensemble des univers physiques et non physiques. Dans cette définition, la Nature serait tout, contenant à la fois nous-mêmes et tout ce qui nous entoure. Mais elle serait encore plus que cela. Elle serait aussi tout ce qu’on peut voir, sentir, toucher, imaginer, tout comme ce qu’on ne peut pas voir, toucher, imaginer. Elle serait à la fois les atomes et les lois qui les régissent entre eux. Elle engloberait le cosmos qu’on cherche à comprendre et peut-être d’autres univers. Elle inclurait l’espace, la matière et le temps tout comme l’énergie sous toutes ses formes. Elle serait tout ce qu’on sait d’elle et tout ce qu’on ne sait pas encore, et tout ce qu’on ne saura jamais. Nous en ferions partie intégrante, imbriqué dans un réseau d’une extrême complexité où tout est lié sans que rien ne soit plus important ou moins important que tout le reste, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, des champs de forces électromagnétiques et de gravitation, des ondes de toutes natures et de toutes fréquences et bien d’autres choses que l’Homme ne sait pas encore, sans compter tout ce qu’il ne pourra jamais savoir, car inaccessible à son intelligence et à sa sensibilité. Dans le contexte de la définition de la complexité donné dans le 1er exposé, la Nature serait le système complexe-parent de tous les autres systèmes complexes-enfant qu’elle contient. La Nature serait indivisible et non mesurable dans sa globalité car elle serait d’une « dimension » autre que la nôtre. L’observation de la Nature, pour en comprendre sa beauté, est certainement une bonne chose, à condition d’avoir l’humilité de reconnaître qu’on ne voit que ce qu’on veut ou peut en voir et qu’on ne la verra, ni ne la comprendra jamais dans sa totalité. D’ailleurs est-il vraiment nécessaire de la comprendre objectivement pour en déceler sa beauté et d’en jouir ? Il est certainement vain d’essayer de chercher à percer ses secrets pour essayer de nous en libérer, car cela reviendrait à vouloir nous libérer de ce qui nous permet d’exister. Nous devrions plutôt regarder la Nature comme quelque chose de sacré et la respecter en tant que telle.
L’observation objective de notre seul Univers, tout comme d’autres peuples l’avaient déjà découvert intuitivement, nous a montré qu’il est fait d’une énorme diversité et d’une non moins énorme quantité de matière et d’énergie qui occupent aussi bien l’infiniment petit que l’infiniment grand, qui apparaissent, disparaissent, se transforment, se complexifient, se composent et se décomposent en des temps qui s’étendent de l’infiniment court à l’infiniment long. Notons que la notion d’espace infiniment grand ou petit, et la notion de temps infiniment court ou long n’ont de signification qu’au niveau des mathématiques et n’ont de valeur que dans un système de référence bien défini. Elles sont toutefois inappréciables par notre imagination. Peut-on imaginer ce que veut dire le nombre 10 avec quarante zéros derrière ? Les physiciens retrouvent souvent cette valeur entre les rapports de l’infiniment grand et de l’infiniment petit de plusieurs grandeurs physiques. Ces chiffres ne font que nous confirmer que la Nature n’est pas dans notre dimension, ne serait-ce que physiquement.
Le fait qu’il y ait dans la Nature apparition, disparition, transformation, conduit automatiquement à la notion d’existence c'est-à-dire de naissance, de succession d’évènements, de durée et de mort. Pour pouvoir communiquer et nous comprendre, nous sommes obligés de faire des définitions qui ne sont que des outils, des représentations pour notre pensée et n’ont de valeur que par le regard qu’on porte sur elles, mais n’ont aucune valeur absolue.
Appelons alors « élément-type» » quelque chose qui se distingue d’une autre, qu’on peut observer dans la Nature. Cela peut être, par exemple, une particule élémentaire, un atome, une molécule, une espèce biologique, une étoile, une galaxie, un univers, une onde, un parfum, voire un sentiment ou un phénomène extra sensoriel. L’observation suggère que tous les « éléments-types » ont la spécificité d’apparaître en tant que tels, de suivre une évolution qui leur est spécifique avant de disparaître pour se transformer en un ou plusieurs « éléments-types » de natures différentes. Le temps qui sépare l’apparition d’un « élément-type » et sa disparition en tant que tel peut aller d’une fraction de milliardième de seconde à des multiples de milliards d’années.
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