Existence
Les mots nature, existence et vie prennent plusieurs significations dans le langage courant. La signification des mots est importante pour éviter toute confusion. Ainsi, dans ce site, nous donnerons une signification particulière au mot existence en l'écrivant avec un E majuscule pour le distinguer des autres significations.
On définira alors l’Existence comme le processus évolutif plus ou moins complexe d’un « élément-type » entre son apparition en tant que tel et sa disparition. Un « élément-type » donné est formé d’un nombre plus ou moins grand d’éléments présentant les mêmes caractéristiques, du moins à nos yeux. L’observation objective nous indique encore que tous les « éléments-types » sont intimement liés entre eux. Ils ne peuvent exister par eux-mêmes, pour eux-mêmes. Tous dépendent de l’Existence des autres. Des « éléments-types » à structure identique peuvent se combiner entre eux et donner un autre « élément-type ». Ils peuvent aussi se combiner avec plusieurs autres sortes d’ « éléments-types », pour former des ensembles, des agrégats plus ou moins complexes ayant leur propre Existence. Ces derniers, en fin d’Existence, se désagrègent pour donner des agrégats d’ « éléments-types » plus élémentaires qui se recombineront avec d’autres pour former d’autres agrégats complexes, et cela continuellement, à des rythmes différents. Ces cycles d’apparition, de transformation et de disparition ont fait l’objet d’un théorème célèbre qui dit que « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme (à des vitesses très différentes) et tout est lié (avec différents types de liaisons, plus ou moins fortes et plus ou moins directes ». Par exemple, un être biologique est formé d’un ensemble d’autres êtres biologiques (les cellules, les organes, etc) eux-mêmes formés d’agrégats d’ « éléments-types » différents (des protéines, des acides aminés, des enzymes, des hormones…). Tous ont leur propre Existence, leurs propres transformations. Tous sont liés les uns aux autres à l’intérieur comme à l’extérieur de l’agrégat par des relations d’une grande complexité. Cela signifie que tout cet être biologique est en constante transformation pendant son Existence et ne peut exister sans l’Existence de tous les autres à l’intérieur comme à l’extérieur de son être. Il en va de même quand on considère une population d’individus, un ensemble d’espèces biologiques, une galaxie. Nous, les humains, avons donné des noms à ces observations : on parle de naissance, de maturation, de vieillissement et de mort. Tout évolue. Rien n’est statique. Tout retour en arrière est impossible.
Voilà pour l’Existence ! Et la Vie dans tout ça ? Que serait-elle ? Pour la Science traditionnelle, la vie constitue la propriété essentielle des êtres organisés, définie par l’ensemble des phénomènes que sont la nutrition, l’assimilation, la croissance et la reproduction, communs à tous les organismes, des plus élémentaires à l’Homme, et qui s’expriment de la naissance à la mort. Dans le concept proposé ici, le monde du vivant serait dans la Nature un sous-ensemble d’ « éléments-types » qui se limiterait aux seuls êtres biologiques organisés. Pour la Science classique, la matière dite inerte n’a pas de vie, bien qu’elle reconnaisse que la frontière entre matière vivante et inerte est plutôt floue. Elle reconnaît en plus que la matière dite vivante ne peut l’être sans la présence de la matière inerte. Pourquoi alors ne pas alors donner au mot Vie une portée plus universelle ? Voici une proposition :
Lire plus à propos du mot Vie
On définira alors l’Existence comme le processus évolutif plus ou moins complexe d’un « élément-type » entre son apparition en tant que tel et sa disparition. Un « élément-type » donné est formé d’un nombre plus ou moins grand d’éléments présentant les mêmes caractéristiques, du moins à nos yeux. L’observation objective nous indique encore que tous les « éléments-types » sont intimement liés entre eux. Ils ne peuvent exister par eux-mêmes, pour eux-mêmes. Tous dépendent de l’Existence des autres. Des « éléments-types » à structure identique peuvent se combiner entre eux et donner un autre « élément-type ». Ils peuvent aussi se combiner avec plusieurs autres sortes d’ « éléments-types », pour former des ensembles, des agrégats plus ou moins complexes ayant leur propre Existence. Ces derniers, en fin d’Existence, se désagrègent pour donner des agrégats d’ « éléments-types » plus élémentaires qui se recombineront avec d’autres pour former d’autres agrégats complexes, et cela continuellement, à des rythmes différents. Ces cycles d’apparition, de transformation et de disparition ont fait l’objet d’un théorème célèbre qui dit que « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme (à des vitesses très différentes) et tout est lié (avec différents types de liaisons, plus ou moins fortes et plus ou moins directes ». Par exemple, un être biologique est formé d’un ensemble d’autres êtres biologiques (les cellules, les organes, etc) eux-mêmes formés d’agrégats d’ « éléments-types » différents (des protéines, des acides aminés, des enzymes, des hormones…). Tous ont leur propre Existence, leurs propres transformations. Tous sont liés les uns aux autres à l’intérieur comme à l’extérieur de l’agrégat par des relations d’une grande complexité. Cela signifie que tout cet être biologique est en constante transformation pendant son Existence et ne peut exister sans l’Existence de tous les autres à l’intérieur comme à l’extérieur de son être. Il en va de même quand on considère une population d’individus, un ensemble d’espèces biologiques, une galaxie. Nous, les humains, avons donné des noms à ces observations : on parle de naissance, de maturation, de vieillissement et de mort. Tout évolue. Rien n’est statique. Tout retour en arrière est impossible.
Voilà pour l’Existence ! Et la Vie dans tout ça ? Que serait-elle ? Pour la Science traditionnelle, la vie constitue la propriété essentielle des êtres organisés, définie par l’ensemble des phénomènes que sont la nutrition, l’assimilation, la croissance et la reproduction, communs à tous les organismes, des plus élémentaires à l’Homme, et qui s’expriment de la naissance à la mort. Dans le concept proposé ici, le monde du vivant serait dans la Nature un sous-ensemble d’ « éléments-types » qui se limiterait aux seuls êtres biologiques organisés. Pour la Science classique, la matière dite inerte n’a pas de vie, bien qu’elle reconnaisse que la frontière entre matière vivante et inerte est plutôt floue. Elle reconnaît en plus que la matière dite vivante ne peut l’être sans la présence de la matière inerte. Pourquoi alors ne pas alors donner au mot Vie une portée plus universelle ? Voici une proposition :
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